Séminaire de recherche 2024-2025 de SULISOM

Cliniques actuelles, symptômes inédits, interventions nouvelles

organisé par Olivier Putois (MCU-HDR, SuLiSoM) et directeur de SuLiSoM

Sauf précision expresse, le séminaire a lieu les jeudis à 18h15 à l’amphi Viaud de la Faculté de Psychologie, 12 rue Goethe, 67000 Strasbourg.
Pas de diffusion à distance, séances enregistrées et mises sur le site du laboratoire en fin d’année
Prochaine séance  :

  • 13 février 2025, Philippe Drweski, MCU à l’Université de Paris-Cité, psychologue clinicien, psychanalyste, thérapeute de groupe et familial : “Autour des enjeux individuels et groupaux du climatoscepticisme à l’adolescence”

Séminaire de recherche

 

Sur le vide et les prothèses psychiques dans le malaise contemporain

Jeudi 30 janvier 2025 à 18h15 – amphi Viaud – Faculté de Psychologie

Frédéric Tordo est Psychologue clinicien, docteur en psychologie clinique, fondateur et responsable du DU de Cyberpsychologie Clinique et Psychopathologie Contemporaine (Paris-Cité), chercheur associé au CRPMS (Paris-Cité).
Les sujets contemporains sont confrontés à des formes inédites de souffrance psychique, marquées notamment par la néantisation et un profond sentiment de vide intérieur. Ces états traduisent notamment une déliaison entre le sujet et son double interne, souvent exacerbée par des carences primaires, qui se manifestent sous forme de traumas négatifs, ou par la pression culturelle et technologique de l’hypermodernité. Ces configurations subjectives, caractérisées par une dissociation et une difficulté à accéder à une position réflexive, se traduisent aussi par des troubles identitaires et des angoisses de désubjectivation. Pour pallier ces fragilités narcissiques, les individus élaborent des “prothèses psychiques” qui agissent comme des béquilles identitaires et réflexives. Ces prothèses prennent des formes variées : relations interpersonnelles idéalisées, avatars et identités numériques, Intelligence Artificielle ou encore recours à la culture populaire pour créer des « doubles imaginaires ». Bien que temporaires, ces solutions permettent de recréer artificiellement une continuité psychique en offrant des miroirs externes lorsque les processus internes font défaut. Cependant, elles comportent un paradoxe : si elles apportent un soutien ponctuel contre le vide, elles risquent aussi de renforcer la dissociation et d’accentuer l’effacement du sujet. Dans l’espace thérapeutique, ces problématiques génèrent des transferts singuliers. Les patients projettent par exemple leur vide intérieur sur le clinicien, suscitant des affects de néantisation ou de lassitude dans le contre-transfert. Le rôle du psychologue clinicien est alors d’incarner un “double réflexif” temporaire, capable de contenir et de transformer ces expériences irreprésentables. Lors du séminaire, les perspectives thérapeutiques seront développées, en insistant sur l’importance de tolérer et d’élaborer ces vécus dans la relation transférentielle. Ces approches visent à accompagner les patients vers une réarticulation de leur identité et une restauration progressive des capacités réflexives.

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Journée d’étude

Lundi 18 novembre 2024

Faculté de psychologie – Amphi Viaud
12 rue Goethe
67000 STRASBOURG

Michel Deneken, président de l’Université de Strasbourg

Elisabeth Demont, vice-présidente Ressources humaines et dialogue social

ont le plaisir de vous inviter à une journée d’étude dans le cadre de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées (Seeph)

8h30–9h Accueil

9h–9h30 Introduction, Elisabeth Demont et Laetitia Felder

9h30–11h – Session 1 : Inclusion

« L’ESAT de demain », Sophie Bollinger – Bureau d’économie théorique et appliquée (Beta)

« Accessibilité des environnements urbains et des transports en commun pour améliorer l’inclusivité dans les villes : le projet JUSTICE », Alexis Conesa et Olivier Finance – Laboratoire Image, ville, environnement (Live) et Michel Koebel – Laboratoire sport et sciences sociales (E3S)

« Les technologies d’assistance au handicap », Valentine Gourinat – Laboratoire interdisciplinaire en études culturelles (LinCS)

11h–11h30 – Pause

11h30–12h30 – Session 2 : Parcours professionnel

« Accompagnement du retour à l’emploi après cancer », Julie Daul – Laboratoire de psychologie des cognitions (LPC)

« Emploi protégé : solution alternative ou ségrégative ? », Sarah Richard – Audencia Business School – ex membre Humanis

12h30-14h – Déjeuner offert (sur inscription en bas de page)

14h–15h – Session 3 : Dévoilement

« Voilement et dévoilement de la maladie : faire face au cancer », Anaïk Pian – Lincs

« Dévoilement du handicap chez les étudiant.e.s en situation de handicap invisible », Clémence Bonafé – Laboratoire interuniversitaire des sciences de l’éducation et de la communication (Lisec)

15h-15h30 – Pause

15h30–16h30 – Session 4 : L’identité de personne handicapée

« Les effets du maintien dans le travail sur les remaniements de l’identité dans les maladies neuromusculaires rares », Mélanie Jacquot – Unité de recherche Subjectivité, lien social et modernité (SuLiSoM)

« Les déterminants de l’intention d’effectuer les démarches administrative à la RQTH chez les agents Unistra », Camille Sanrey – LPC

18h–20h – Conférence grand public

« Minorités et majorités au travail : qui bénéficie réellement des politiques de diversité ? », Julia Oberlin – Université Libre de Bruxelles

Consultez le programme complet de la Seeph à l’Université de Strasbourg.

Afin de nous permettre de mieux vous accueillir, merci de vous inscrire avant le 9 novembre 2024 en cliquant ici : je m’inscris

Cliniques actuelles, symptômes inédits, interventions nouvelles

organisé par Olivier Putois (MCU-HDR, SuLiSoM) et directeur de SuLiSoM

Sauf précision expresse, le séminaire a lieu les jeudis à 18h15 à l’amphi Viaud de la Faculté de Psychologie, 12 rue Goethe, 67000 Strasbourg.
Pas de diffusion à distance, séances enregistrées et mises sur le site du laboratoire en fin d’année
Dates et titres des séances  :

  • 12 décembre 2024, Olivier Putois, MCU-HDR en Psychopathologie clinique à la faculté de Psychologie de Strasbourg, Psychologue-Psychanalyste, directeur du SuLiSoM UR 3071 : “La consultation en binôme neurologue/psychologue-psychanalyste, un dispositif thérapeutique mixte”
  • 30 janvier 2025, Frédéric Tordo, psychologue clinicien, psychothérapeute et psychanalyste, docteur en psychologie clinique : “Le vide psychique et les prothèses numériques dans le malaise contemporain”
  • 13 février 2025, Philippe Drweski, MCU à l’Université de Paris-Cité, psychologue clinicien, psychanalyste, thérapeute de groupe et familial : “Autour des enjeux individuels et groupaux du climatoscepticisme à l’adolescence”
  • 27 mars 2025, Derek Humphreys, PR à l’Université de Paris-Cité, médecin, psychanalyste : “Les dispositifs cliniques de grande précarité : le travail en rue”
  • 10 avril 2025, Aubeline Vinay, PR à l’Université d’Angers, Psychologue clinicienne : « Un dispositif thérapeutique de groupe à destination de mineurs isolés. Récit de la construction et du déploiement d’un projet expérimental »

Flyer à télécharger
Sans prétendre prendre position sur les questions débattues des symptômes dits « nouveaux », voire de l’évolution des structures, ce séminaire prend le relais de celui de l’an dernier sur “les transferts”. Le constat de leur pluralité, au moins dans la pratique, débouche en effet naturellement sur la question de leurs configurations les plus saillantes, qui dessinent le malaise contemporain – et de la manière de les accueillir.
Car de nouvelles requêtes sont adressées aux structures de soins, ou socio-éducatives, et peuvent venir mettre en tension le cadre habituel des interventions du psychologue. Il est de facto, souvent interrogé de manière frontale, par exemple, par les institutions ou les parents confrontés à la souffrance adolescente. Dans le champ de la précarité, comment contribuer à la prise en charge de la souffrance psychique au plus près des personnes marginalisées et vivant dans la rue?
Nous interrogerons donc l’actualité de la clinique des symptômes et du type d’interventions qu’ils requièrent, soit dans un renouveau du classicisme – réinvention inévitable – soit par des interventions ou dispositifs nouveaux. Ce qui nous conduira à interroger en retour les notions classiques de cadre, de visée, mais aussi d’aménagement du cadre. Est-on alors dans l’assouplissement ou dans la transgression ?
On fera ainsi écho à A. Ciccone, qui rappelait en 2014 que « la méthode clinique oblige à interroger continuellement la pertinence du dispositif”, ou à Sophie Gilbert qui fait appel à « Une psychanalyse ‘hors cadre’ [qui] serait hors des sentiers battus, et ferait place à la créativité”, ancrée dans le “cadre intérieur” du clinicien. Nous retrouverions ici des questions soulevées par Raymond Cahn dans La fin du divan ?
Ces questions rencontrent aussi celle de la représentation de la psychothérapie, voire de l’analyse, aujourd’hui : elle a considérablement évolué ces dernières années, notamment via la production de séries mais également des réseaux sociaux. Le fait d’aller « voir un psy » n’apparaît plus comme un signe de pathologie mais peut être aussi affichée comme une recherche de bien être voire de perfectionnement des compétences. Mais la multiplication des offres de services thérapeutiques répondant à ces nouveaux types de demande (au sens capitaliste du terme), souvent liées à la “santé mentale”, interroge en retour sur la possibilité de garder le tranchant de l’ethos analytique – bien moins vendeur que le développement personnel ! -, et de se positionner en tant que thérapeute orienté par la psychanalyse. À l’horizon apparaît alors une interrogation sur ce qui, à travers la diversité des pratiques, fonde l’appartenance, réelle et/ou fantasmatique, à une communauté fédérée par la référence à la psychanalyse.

Ce séminaire s’adresse aux enseignants, universitaires mais aussi praticiens de terrain, aux étudiants en licence et Master, aux doctorants et chercheurs en psychologie et à tout professionnel intéressé par ces questions.

Participation gratuite sans inscription dans la limite des places disponibles

Anne Thevenot et Jonathan Nicolas accueillent :

Date :Jeudi 24 octobre  2024 à 18h30
Lieu : Amphi Lagache, faculté de psychologie, 12, rue Goethe – 67000 Strasbourg

Liliane Goldsztaub,  pour l’ouvrage :

  • Psychodrame analytique lacanien
    Une ouverture sur les enjeux sociaux et sociétaux, Erès, 2024

En la resituant dans l’histoire du psychodrame, de Moreno à nos jours, Liliane Goldsztaub rend compte d’une pratique originale qui est aussi une réponse aux problématiques sociales et sociétales actuelles. À l’histoire et à l’expérience de l’inventeur du psychodrame, répondent les reprises et les variations des psychodrames psychanalytiques contemporains. En miroir, l’auteure décrit le psychodrame analytique lacanien qu’elle pratique, ses variations et ses trouvailles, tout en faisant dialoguer clinique et théories. Elle part de faits sociaux et sociétaux (violence, déshumanisation, isolement, pathologies, problèmes de formation professionnelle…) et montre comment le psychodrame dirigé par des psychodramatistes et psychanalystes formés peut traiter ces problématiques. La construction du livre éclaire les dynamiques psychiques à l’œuvre.

 

3ème journée des jeunes chercheurs et chercheuses de la Faculté de psychologie

Lieu : Amphi Viaud

Programme

9h30-10h30 : Session « La vie au travers des âges »
Animée par: Cécile Bréhat (SuLiSoM) et Valérian Boudjemadi (LPC)

Mélissa Wolff (SuLiSoM): Adolescence et actes de violence : des modalités intriquées – intrapsychiques, familiales, sociales– chez des adolescents rencontrés en service d’Aide Educative en Milieu Ouvert

11h -12h : Session « (Dys)fonctionnements »
Animée par: Chantal Mathis (LNCA) et Andrei Tudorach (LPC)

Nicolas Nieuvarts (SuLiSoM) : Diogène : Avec ou sans toit !

13h45-14h45 : Session « Quels maux pour la douleur ? »
Animée par: Olivier Putois (SuLiSoM) et Iris Trinkler (LNCA)

Coline Bidalot Loth (SuLiSoM) : Quelles dynamiques psychiques sous l’agir addictif ?
Joël Pires (SuLiSoM) : « La douleur qui se tait n’en est que plus funeste » : le cas de l’anorexie mentale

15h00-16h15 : Session « Lien Social »
Animée par: Jonathan Nicolas (SuLiSoM) et Camille Sanrey (LPC)

Mila Duval (SuLiSoM): Du refus de la vaccination comme défense identitaire : dernier rempart contre l’effondrement psychique ?
Genia Gurina (SuLiSoM) : Les témoignages de violences sur les réseaux sociaux : qui sont ces femmes #MeToo ?

AAC APRÈS-MIDI DOCTORAL « Les transferts »

Chers collègues doctorants,

Notre Laboratoire SuLiSoM (Subjectivité, Lien Social et Modernité) a le plaisir de vous informer que nous organisons un après-midi doctoral le 10 octobre 2024 au sein de notre Université de Psychologie de Strasbourg.
Intitulé « Les Transferts », cet après-midi sera accolé à notre colloque international du 11 et 12 octobre 2024, auxquelles les doctorants ont accès avec un tarif réduit.
En pièce jointe, veuillez trouver notre affiche, l’argumentaire de cet après-midi doctoral, ainsi que le document a complété en cas de soumission d’une communication.
En vos qualités de directeur de laboratoire, directeurs de thèses, enseignants-chercheurs, gérant d’École Doctorale, veuillez transmettre ces documents à vos doctorants.
Nous attendons un retour sur l’adresse mail suivante : doctorantssulisom@gmail.com
L’appel à participation sera clôturé le 25/05/2024.
Bien cordialement,
Le comité d’organisation et scientifique

Séminaire le jeudi 11 avril 2024 à 18h15, à l’amphi Viaud  :

« A propos des bébés et des enfants autistes : la nécessité d’une topique des liens pour penser une demande intransitive »

  • Bernard Golse, Professeur émérite de Psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, Université de Paris ; Pédopsychiatre ; Psychanalyste à l’Association Psychanalytique de France ; Fondateur de l’Institut Contemporain de l’Enfance

Organisation et modération : Olivier Putois, MCU-HDR et directeur du SuLiSoM

Séminaire de recherche ouvert aux étudiants et professionnels : accès libre dans la limite des places disponibles

Argument du séminaire de recherche 2023- 2024 sur le flyer :  Flyer SEMINAIRE SuLiSoM

Lieu :  Amphi Viaud de la Faculté de Psychologie, 12 rue Goethe, 67000 Strasbourg.

Dates du colloque : Vendredi 11 octobre et samedi 12 octobre 2024

Possibilité de s’inscrire en présentiel ou en distanciel.


La référence au transfert et à son maniement constitue la – dernière ? – pierre angulaire de l’approche du psychisme de référence psychanalytique. Du côté du soin psychique, après les débats du siècle dernier sur l’existence et la nature du transfert dans les organisations non-névrotiques, la diversification désormais acquise des types de dispositifs et d’interventions thérapeutiques d’orientation analytique requiert aujourd’hui d’interroger voire d’élaborer la question d’une pluralisation de la référence au transfert – voire d’une irréductible pluralité. Qu’en est-il d’un travail d’orientation analytique lorsque la possibilité même du transfert est, parfois pendant longtemps, portée par le thérapeute – ainsi dans les cas de travail thérapeutique imposé, par la justice (par ex. chez les agresseurs sexuels) ou par des médecins (par ex. dans l’anorexie mentale) ? Ou lorsqu’une plainte, avec sa charge inconsciente parfois évidente, est adressée à un autre professionnel du soin, ou de la justice ? Contextes où le poids de l’actuel voire de l’agir, doublé d’une absence de demande, semble souvent obérer la possibilité d’une élaboration du transfert – et par là même ouvrir à la suggestion. Qu’en est-il par ailleurs de la référence au transfert dans le travail avec la psychose aujourd’hui ? D’autre part, au-delà de sa nécessaire diffraction thérapeutique et de la pertinence de la référence à la bifocalité, quelle est l’actualité de la prise en compte du transfert dans le travail institutionnel, soumis à une logique de rentabilité inédite qui rabat l’élaboration sur l’acte ? Qu’en est-il d’autre part du travail sur le transfert dans les thérapies dites courtes d’orientation analytique ? Et dans la pratique groupale, qui se spécifie au fil de la diversité des contextes d’intervention ? Toutes questions exigeant de spécifier au plan épistémologique et clinique la ou les références au transfert, ce qui ne pourra faire l’économie d’un dialogue avec ce que les TCC visent sous le chef d’alliance thérapeutique. Sans compter l’enjeu, crucial à l’ère de l’evidence-based medicine, du statut du transfert dans la constitution des objets et dans le recueil des données dans la recherche qualitative d’orientation psychanalytique, en dialogue avec les SHS.

Comité Scientifique du colloque  :

O. Putois, A. Thevenot, M.-F. Bacqué, C. Metz, J. Nicolas, N. Bahi, C. Brehat, M. Duval, J. Pires

Lieux du colloque :

  • Faculté de psychologie de Strasbourg, Amphi Viaud (Plénières et tables rondes)
  • Faculté de psychologie de Strasbourg, pavillon Ribot (les symposia)

 

Programme et inscriptions sur : https://sulisom-colloques.fr/

 

Séminaire le jeudi 14 mars 2024 à 18h15 :

Lieu : Amphi Lagache, Faculté de psychologie, 12, rue Goethe, 67000 Strasbourg

Géraldine Canet :  « Transfert et contre-transfert dans la recherche : quels enjeux pour le clinicien-chercheur en Sciences humaines et sociales ? »

Résumé :
Tout clinicien-chercheur en Sciences humaines et sociales peut se trouver confronté à des situations floues entre sa position et son attitude de chercheur, et la demande thérapeutique latente des enquêtés, à laquelle il se trouve parfois amené à répondre consciemment ou inconsciemment en thérapeute. Comment anticiper et examiner ces processus transféro-contre-transférentiels au profit de la recherche, à la rencontre entre trois partenaires indissociables : le chercheur et clinicien, sa thématique de recherche, et le participant volontaire ? Nous appuierons cette réflexion sur un cas rencontré en situation de recherche, et qui a particulièrement interpellé notre groupe de travail.

Géraldine Canet est Docteure en Sciences du Mouvement Humain (Art-thérapies) de l’Université Paris Cité, psychanalyste et art-thérapeute à Strasbourg.
Elle est co-responsable pédagogique dans le Master Création artistique & Art-thérapies de l’Institut de Psychologie de l’Université Paris-Cité et participe au groupe de travail sur le Transfert et le contre-transfert dans la recherche (dir. M.-F. Bacqué).

Organisation et modération : Olivier Putois, MCU-HDR et directeur du SuLiSoM

Séminaire de recherche « Les transferts » ouvert aux étudiants et professionnels : accès libre dans la limite des places disponibles

Argument du séminaire de recherche 2023- 2024 sur le flyer :  Flyer SEMINAIRE SuLiSoM